SYLVIA GOUBERN, LA CITÉ SANS NOM.

Cette proposition très intéressante séduit c’est à dire déplace et fait voyager.. l imaginaire du désert et la ville bleue issue du sable et de la brique …. un désert qui avance, insinue son sable dans les rues, grossit comme une mer vineuse, les murs sont encore un rempart….variations infinies et silencieuses du rêve, architectures de romans issues des secrets vivants en ces maisons minuscules mangées de soleils, portant l’ombre fraiche et l’eau claire au désir des joies de l amour, vaste chant marmoréen, Nuits, soleils de minuit, quand mille et une nuits s emparent de la cité des sables la bas tout la bas à l Orient et qu une main a reconstruit le roman des vies invisibles de cette cité fantôme, à peine perçue , vivante en creux, visibilité des invisibles. Percée des regards….