Se fondre aux pierres, renaître en Phénix du feu des pierres, l’éprouver pour colmater la brèche, faire sang, provoquer par l’ascèse de la contrainte, un retour au lien primordial du vivant, sont les intentions qui ouvrent ce voyage Intérieur. Un dialogue s’est imposé, plus, un échange de substances entre la fragilité, la sensibilité et la rugosité des surfaces, peau contre pierre, surfaces contre surfaces, travail d’un toucher qui prend tout le corps, sans qu’aucun visage ne vienne éclairer par son expression ou son regard, cette intimité aux frontières d’un voyage immobile.