Je ne peux que fondre, grâce au texte, que surprendre l’image manquante, au fond des yeux, celle qui s’inscrit en surimpression du récit, intimités, rêves obscurs et éclatants, fusions….la route et ses serpents, noire sinusoïdale venimeuse et salutaire, yeux ouverts au secret de la chambre…à cette respiration lente, plaisir dont la morsure est aussi poison, enchantement….assez baudelairien ou se soustrait la chute rédemptrice comme une éclipse où tout semble frappé d’incertitudes et d’irréalité… Là commencent et le rêve et la photographie, image non photographiée, image en creux, mutante, secrète, mystérieuse matrice qui surprend l’inestimable récit où la fascination joint l’absence de l’image manquante itératrice…