Quoiqu’il en soit un Fascinum a agi, à faire se répondre et dialoguer les allers-retours entre photographies réhaussées de pierre noire et dessins citant le plan photographique dans un geste hyper-réaliste, Roxane Daumas a fait entrer ces lieux hantés dans une mémoire collective, comme la révélation d’ une forme d’objet d’art parfait, magnifiquement réalisé, dont la présence s’affirme pleinement, une fois passé l’identification du medium utilisé.