Crépuscules pourrait être ce lieu d’une absolution et d’un absolu. Une petite fille surnommée Fleur de ghetto se penche 6o ans plus tard dans un devoir de mémoire sur les racines de ce sur nom, de ce nom qui a remplacé le sien et qui a modifié sans doute sa propre histoire, endosser l’épreuve de la totalité de l’aberration nazie, de la noirceur de ces ombres qui ont hanté ses nuits …”les ombres noires, démons noires, ces léprosités hargneuses , évoquées hier par cette chanson de la plus haute tour… J’ai tant fait patience qu’à jamais j’oublie craintes et souffrances au cieux sont parties, et la soif malsaine obscurcit mes veines…”.