A feuilleter Ici et Ailleurs, à passer de chapitre en chapitre, à aller et venir en ces miroirs clairs, à contempler cette photographie lisse, au grain de soie, à se laisser hâler aux noirs profonds et enchanteurs, à ces couleurs de peintres, ces bleus et ces rouges qui enflamment toujours délicieusement l’œil, sans jamais en arrêter le flux, à permettre le voyage, il faut saluer la grande technique de l’éditeur, Hemeria, parce qu’il permet à la photographie de Liliroze de se délier heureusement des impératifs de l’imprimerie et de donner à ses lecteurs un même plaisir dans la découverte de ses baigneuses, de ses intérieurs…