MICHEK KIRCH évoque t-il ici une figure mythologique, Vénus, à travers un NU à la façon des peintres, baignant dans les eaux primordiales, ce Nu étant Un, comme perçu et vu à travers le miroir, une vision spéculaire hermétique…inspirée du baroque.
MICHEK KIRCH évoque t-il ici une figure mythologique, Vénus, à travers un NU à la façon des peintres, baignant dans les eaux primordiales, ce Nu étant Un, comme perçu et vu à travers le miroir, une vision spéculaire hermétique…inspirée du baroque.
Linda Tuloup, dont le nom enchante, un plaisir qui s’enroule sur lui-même, glisse de la bouche à la main, s’éprend des beaux seins gonflés qui se donnent ici sans retenue, dans la jovialité de l’instant, dans toute la Nature traversée, habillée puis nue, chant, hymne au doux visage, temps choyé, temps ployé aux rimes de ce curieux ouvrage qui s’ouvre si naturellement aux propositions d’un rêve des sens.