Sanguinaires m’apparait comme un antidote aux angoisses de cette pandémie, un retour aux jardins des quotidiens, simplement, une notation des sens et du corps, un retour à soi et à la paix manquante tout en évoquant les marques subtiles de ce qui, toujours, reste permanent, ces voix ancestrales, retours de civilisations, berceaux de l’Occident.