La photographie d’Alain Keler est souvent faite d’un espace qui s’ouvre à soi et dont le photographe est le récipiendaire, celui à qui se destine l’image, la photographie, comme s’il était doué de la possibilité d’ouvrir le rideau d’un théâtre sur une scène, devant nos yeux, dans une sorte de triangulation de l’espace et du temps…