Lys Arango a documenté ce phénomène sous-évalué et travaille actuellement sur la seconde partie du projet décrivant les causes et les effets de la malnutrition infantile chronique, également connue sous le nom de tueur silencieux.
Lys Arango a documenté ce phénomène sous-évalué et travaille actuellement sur la seconde partie du projet décrivant les causes et les effets de la malnutrition infantile chronique, également connue sous le nom de tueur silencieux.
IRÈNE JONAS À HOULGATE. Le festival Les Femmes s’exposent vient d’inaugurer sa 4ème édition à Houlgate. Notre critique,.
Chantal Colleu-Dumond a réuni pour cette troisième édition deux types de travaux, ceux qui prennent la Loire comme source d’inspiration majeure dans trois types de voyages, immobile et cinématographique avec l’artiste américain Jeffrey Blondes, photographique, plastique et formel avec Manolo Chrétien, photographique et animiste avec Henry Roy. Trois autres expositions s’ouvrent sur d’autres voyages plus lointains, mais est-ce si sur, tant la permanence de leur écriture propre procède de la même énonciation curieuse et envoutante, là où se découvrent les pans du réel et s’approche la création. Ces Voyages en Corée, au Soudan, au Mexique, ne sont ils pas aussi un flux d’espace-temps dans un écoulement maitrisé du monde comme une pénétration de l’oeil ouvert sur cette photographie qui rend compte et qui énonce. Un même esprit s’empare du monde et fait voyage, c’est à dire raconte, discerne, met en images.
Nicolas inscrit dans la peau de Deauville ces référents, produit une fiction réelle et fantasmée, occupe le terrain et s’amuse à brouiller les pistes, ce qui rend l’objet de sa création excitant intellectuellement, ouvert aux possibles, à l’étrangeté.
Le procès du temps est constamment questionné en Deauville par son festival, temps de la mémoire, du souvenir creusé par le cinéma, du lieu où se forgent de nouvelles mythologies, de nouveaux reflets; il y a là quelque chose d’un Holly Wood renaissant, une forme de fabrique wharolienne du rêve de Deauville comme une conquête des territoires futurs toujours en projection… c’est ce qui rend le festival , humainement assez poignant, brûlant presque…..et lui confère cette énergie pionnière victorieuse, comme une soif inextinguible; une passion dévore la ville et l’accorde, autant en cette folie de photographies qu’en cette passion du succès.
Voici la seconde et dernière partie de notre article consacré à la 16ème édition du Festival Photo La Gacilly ! Jusqu’au 30 septembre, vous pourrez découvrir les 26 expositions qui viennent habiller le paysage de la petite commune du Morbihan.
« Il y a une attente différente en fonction du type du selfie. Avec le selfie ludique, humoristique ou spectaculaire, beaucoup recherche la viralité puisqu’ils offrent la possibilité d’avoir un maximum de partages et ainsi susciter les réactions. Il y a des choses plus sérieuses et plus engagées qui auront pour but de faire réagir les politiques, le selfie peut se révéler un outil pour dénoncer et pour servir des causes ». – Olivier Culmann
cette année semblait particulièrement important pour la ville et le festival en raison de sa candidature au classement du patrimoine mondial de l’UNESCO.
L’exposition est composée de trois parties. Une première exposée au Moulin avec une série qui s’intitule « Traces d’eau », La deuxième partie est la projection du film « Les chapitres de l’eau », la troisième en extérieur le long de la rivière avec « Portraits submergés ».
Durant trois ans, Marine Lanier a suivi le parcours de deux enfants devenus adolescents. Sur l’immensité d’un plateau basaltique, dans des bois qui paraissent sans limite et intemporels comme une forêt primaire, leurs jeux se déploient.