A la question anthropologique, que verait un néandertalien s’il pouvait se trouver aujourd’hui dans une rue de New York? j’aimerais croire, à y pouvoir répondre, tout sauf ce que nous voyons…de cette réalité et de ses semblants.
A la question anthropologique, que verait un néandertalien s’il pouvait se trouver aujourd’hui dans une rue de New York? j’aimerais croire, à y pouvoir répondre, tout sauf ce que nous voyons…de cette réalité et de ses semblants.
Une vision critique s’empare du statut de l’image fixe, dans un débordement de la représentation unitaire, unifiée, images lisses, pour mettre en scène un regard agi par les ruptures du réel, à travers sa discontinuité, ce qui me semble toujours plus actuel et plus juste, du point de vue d’une démarche cherchant une forme de modernité.
Ouvrier du paradis, le dessinateur Hervé Melon, est reparti sur les sentiers de la création en livrant quelques dessins issus de sa plume au trait fin, pour croquer, comme il se doit, en giboyeur (néologisme) et en Robinson, certains bâtiments, places et lieux les plus emblématiques d’un Dijon ayant fait le voyage des tropiques, revenu au XVIIIème siècle.
Il ne fallait pas déprimer ces 40 000 âmes, dit-on, qui s’étaient rendues, sur ce temps du week-end, en pélerinage, en procession sonore, en dévotions multiples, s’accordant parfaitement au breuvage qui coulait en or dans les verres puis en rose, enfin en rouge…