cette année semblait particulièrement important pour la ville et le festival en raison de sa candidature au classement du patrimoine mondial de l’UNESCO.
cette année semblait particulièrement important pour la ville et le festival en raison de sa candidature au classement du patrimoine mondial de l’UNESCO.
Bastiaan Woudt est hollandais. Autodidacte, le photographe s’est rapidement fait connaître grâce à un travail d’une grande poésie. La série qu’il expose dans le cadre du 7ème festival Portrait(s) de Vichy a été réalisée en Ouganda à l’occasion d’une commande de la fondation Marie-Stella-Maris, qui oeuvre en faveur de l’accès à l’eau potable dans la région de Mukono.
L’émotion, sept ans après la première édition de Portrait(s), demeure intacte pour la directrice artistique Fany Dupêchez. Intacte aussi l’envie d’ouvrir, le temps d’un été, une fenêtre sur les richesses d’un paysage artistique aux nuances inépuisables.
L’agence Modds dirigée par Olivia Delhostal et Marie Delcroix est spécialisée dans la photographie de portrait. À l’occasion de la septième édition du festival Portrait(s) de Vichy, deux photographes que l’agence représente et diffuse : Turkina Faso & Benni Valsson.
« Le degré de la vitesse est directement proportionnel à l’intensité de l’oubli. De cette équation on peut déduire divers corollaires…: notre époque s’adonne au démon de la vitesse et c’est pour cette raison qu’elle s’oublie facilement elle même. Or je préfère inverser cette affirmation et dire : notre époque est obsédée par le désir d’oubli et c’est afin de combler ce désir qu’elle s’adonne au démon de la vitesse ; elle accélère le pas parce qu’elle veut nous faire comprendre qu’elle ne souhaite plus qu’on se souvienne d’elle. » MILAN KUNDERA
trayant des sels d’argent sa puissance hallucinatoire, il mêle l’évocation d’une réalité économique et sociale à une représentation plus onirique du monde. Ces émulsions photographiques «psychédéliques » sont le résultat d’un oeil acerbe sur le monde et d’un travail expérimental et manuel minutieux, de la prise de vue à la chambre noire.
Le regard d’Ambroise Tézenas effleure plus qu’il se s’attarde sur le monde extérieur, passe l’ombre, se délie des territoires de l’apparence pour naviguer au plus près de soi, dans la découverte et le dé-couvrement de ce monde qui ne s’isole et ne se perçoit que grâce à la photographie
“ Un imagier iodé à feuilleter dans l’ordre ou au hasard, qui donne à voir le monde à portée de main. », D’où vient alors que sa photographie, versée à cet exercice, atteigne si bien ce point de la permanence du monde et des choses, dans leur permanence et leur être là?
Les oeuvres exposées sont virales, elles établissent ce sens de l’histoire et permettent une insémination libératrice de ce que furent les causes profondes de l’aliénation des femmes marocaines.
L’exposition est composée de trois parties. Une première exposée au Moulin avec une série qui s’intitule « Traces d’eau », La deuxième partie est la projection du film « Les chapitres de l’eau », la troisième en extérieur le long de la rivière avec « Portraits submergés ».