EVI KELLER EXPOSE MATIÈRE- LUMIÈRE À LA MAISON CAILLEBOTTE. Quand on entre dans l’Orangerie, on est aussitôt interpellé.
EVI KELLER EXPOSE MATIÈRE- LUMIÈRE À LA MAISON CAILLEBOTTE. Quand on entre dans l’Orangerie, on est aussitôt interpellé.
A feuilleter Ici et Ailleurs, à passer de chapitre en chapitre, à aller et venir en ces miroirs clairs, à contempler cette photographie lisse, au grain de soie, à se laisser hâler aux noirs profonds et enchanteurs, à ces couleurs de peintres, ces bleus et ces rouges qui enflamment toujours délicieusement l’œil, sans jamais en arrêter le flux, à permettre le voyage, il faut saluer la grande technique de l’éditeur, Hemeria, parce qu’il permet à la photographie de Liliroze de se délier heureusement des impératifs de l’imprimerie et de donner à ses lecteurs un même plaisir dans la découverte de ses baigneuses, de ses intérieurs…
PASCAL THERME, PLASTICIEN DE LA PHOTOGRAPHIE: CATALOGUE RAISONNÉ. SOMMAIRE 1/ ÉCLAIRAGE DE MA DÉMARCHE CRÉATIVE 2/.
la MAISON CAILLEBOTTE, présente PRÉSENCES sous ce titre, la grande Collection Gilman et Gonzalez-Falla, sous le haut commissariat.
Olivier Brunet, ADN, l’autre soi, au couvent des dominicains, La Fabrique du 222 rue du FB St Honoré du 13 Novembre au 7 Décembre 2023
exposition ouverte tous les jours de 8 à 20h
En présence de l’artiste du jeudi au dimanche de 14h30 à 19h et sur rendez vous.
A la question anthropologique, que verait un néandertalien s’il pouvait se trouver aujourd’hui dans une rue de New York? j’aimerais croire, à y pouvoir répondre, tout sauf ce que nous voyons…de cette réalité et de ses semblants.
L’exposition des photographie de Thibault Lévêque et des poèmes d’Eva Bottega, donne à voir et à écouter le déploiement des corps dans l’espace, la présence de flammes où poudroient ces lumières appelées mots, photos, en leurs décors (dé-corps), lieux mobiles et immobiles dans une topographie du sensible par le voyage américain qui appartient autant au voyage intérieur qu’à la plume qui en établit les correspondances, à travers une photographie, elle aussi, nue, sans artifice, presque fraiche, bientôt brûlante.
MICHEK KIRCH évoque t-il ici une figure mythologique, Vénus, à travers un NU à la façon des peintres, baignant dans les eaux primordiales, ce Nu étant Un, comme perçu et vu à travers le miroir, une vision spéculaire hermétique…inspirée du baroque.
PARIS PHOTO 2021, RETOURS. Une participation époustouflante, toute une actualité, prix et signatures de livres, de très belles.
Que ses souvenirs soient ceux de Flore ou qu’ils proviennent de l’empreinte physique des textes durassiens dans leur cosmographie, les lieux et les voix se sont déposées en Flore, durablement pour faire mythe, muthos, c’est à dire, légende active et silencieuse.