Cette exposition plonge inévitablement le « spectateur » celui qui regarde dans un climat où le bizarre, l’inquiétante étrangeté, l’absurde, l’anormalité s’imposent assez largement pour questionner celui-ci.
Cette exposition plonge inévitablement le « spectateur » celui qui regarde dans un climat où le bizarre, l’inquiétante étrangeté, l’absurde, l’anormalité s’imposent assez largement pour questionner celui-ci.
“ Un imagier iodé à feuilleter dans l’ordre ou au hasard, qui donne à voir le monde à portée de main. », D’où vient alors que sa photographie, versée à cet exercice, atteigne si bien ce point de la permanence du monde et des choses, dans leur permanence et leur être là?
L’exposition est composée de trois parties. Une première exposée au Moulin avec une série qui s’intitule « Traces d’eau », La deuxième partie est la projection du film « Les chapitres de l’eau », la troisième en extérieur le long de la rivière avec « Portraits submergés ».
Durant trois ans, Marine Lanier a suivi le parcours de deux enfants devenus adolescents. Sur l’immensité d’un plateau basaltique, dans des bois qui paraissent sans limite et intemporels comme une forêt primaire, leurs jeux se déploient.
Cette anecdote a amené les photographes à s’interroger sur la fonction sociale du vêtement chez les réfugiés. Les raisons qui les ont amenés à choisir un vêtement plutôt qu’un autre en dit long sur leur histoire, leur personnalité. Les photographes les ont immortalisés avec la veste ou le pantalon, au moment où ils se sentaient beaux.
Là où cette photographie peut paraître mélancolique et lourde, une densité de fait, l’expression d’une légèreté et d’un humour, issu de Keaton, (le diptyque des 2 maisons sur roulettes, Keatonien évidemment) apparaît comme une évidence, en seconde lecture, celle ci exprime et ouvre sur sa production, même la plus symptomatiquement dense, une action de l’Air, aérienne et légère, où l’humour semble se tapir sous le constat du poids du monde et de son inaltérabilité du fait de la période historique.
M.E.P. Photographes voyageurs et Voyages Atelier Gens d’images Maison Européenne de la Photographie .Les Photographes voyageurs : Partir, découvrir l’autre,.
Again and Again, Stéphane Duroy au BAL Again & Again. Partie II Unknown Cette exposition présente deux périodes.
Chroniques de Jérusalem et d’ailleurs » de Didier Ben Loulou, Arnaud Bizalion Édition « Qu’est ce qu’une âme perdue?.