A la question anthropologique, que verait un néandertalien s’il pouvait se trouver aujourd’hui dans une rue de New York? j’aimerais croire, à y pouvoir répondre, tout sauf ce que nous voyons…de cette réalité et de ses semblants.
A la question anthropologique, que verait un néandertalien s’il pouvait se trouver aujourd’hui dans une rue de New York? j’aimerais croire, à y pouvoir répondre, tout sauf ce que nous voyons…de cette réalité et de ses semblants.
THIBAULT LÉVÊQUE EXPOSE A LA GALERIE LENEUF/SINIBALDI / PARIS OBSESSIONS, un dialogue entre ses photographies et les poèmes.
MICHEK KIRCH évoque t-il ici une figure mythologique, Vénus, à travers un NU à la façon des peintres, baignant dans les eaux primordiales, ce Nu étant Un, comme perçu et vu à travers le miroir, une vision spéculaire hermétique…inspirée du baroque.
PARIS PHOTO 2021, RETOURS. Une participation époustouflante, toute une actualité, prix et signatures de livres, de très belles.
Que ses souvenirs soient ceux de Flore ou qu’ils proviennent de l’empreinte physique des textes durassiens dans leur cosmographie, les lieux et les voix se sont déposées en Flore, durablement pour faire mythe, muthos, c’est à dire, légende active et silencieuse.
Sarah Moon, Passé Présent au Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris. Seconde Partie « Vous avez dit.
Sarah Moon, Passé Présent au Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris. Première partie « Vous avez dit.
Sanguinaires m’apparait comme un antidote aux angoisses de cette pandémie, un retour aux jardins des quotidiens, simplement, une notation des sens et du corps, un retour à soi et à la paix manquante tout en évoquant les marques subtiles de ce qui, toujours, reste permanent, ces voix ancestrales, retours de civilisations, berceaux de l’Occident.
Je ne peux que fondre, grâce au texte, que surprendre l’image manquante, au fond des yeux, celle qui s’inscrit en surimpression du récit, intimités, rêves obscurs et éclatants, fusions….la route et ses serpents, noire sinusoïdale venimeuse et salutaire, yeux ouverts au secret de la chambre…à cette respiration lente, plaisir dont la morsure est aussi poison, enchantement….assez baudelairien ou se soustrait la chute rédemptrice comme une éclipse où tout semble frappé d’incertitudes et d’irréalité… Là commencent et le rêve et la photographie, image non photographiée, image en creux, mutante, secrète, mystérieuse matrice qui surprend l’inestimable récit où la fascination joint l’absence de l’image manquante itératrice…
Hors de leur chrysalide, papillons issus de la métamorphose, aptes à enchanter ce jour, nous les voyons de ce premier regard, libres, voler comme des lucioles, tout autour de nos têtes, comme un message beau et improbable issu du temps même. Ils enchantent… car en ces preuves rapportées du réel se loge le rêve de nos propres mutations, ces avenirs où bruit la lumière dans son organicité et son chant plein.