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Se fondre aux pierres, renaître en Phénix du feu des pierres, l’éprouver pour colmater la brèche, faire sang, provoquer par l’ascèse de la contrainte, un retour au lien primordial du vivant, sont les intentions qui ouvrent ce voyage Intérieur. Un dialogue s’est imposé, plus, un échange de substances entre la fragilité, la sensibilité et la rugosité des surfaces, peau contre pierre, surfaces contre surfaces, travail d’un toucher qui prend tout le corps, sans qu’aucun visage ne vienne éclairer par son expression ou son regard, cette intimité aux frontières d’un voyage immobile.

Alain Keler joint le geste à la parole, il donne à voir par sa photographie tout un état du réel, et par ses textes tout ce qui inscrit dans le champ historique et social et par les deux réunis, ce qui fait Histoire, histoires, fictions..dans une approche instinctive.

Le regard d’Ambroise Tézenas effleure plus qu’il se s’attarde sur le monde extérieur, passe l’ombre, se délie des territoires de l’apparence pour naviguer au plus près de soi, dans la découverte et le dé-couvrement de ce monde qui ne s’isole et ne se perçoit que grâce à la photographie

Là où cette photographie peut paraître mélancolique et lourde, une densité de fait, l’expression d’une légèreté et d’un humour, issu de Keaton, (le diptyque des 2 maisons sur roulettes, Keatonien évidemment) apparaît comme une évidence, en seconde lecture, celle ci exprime et ouvre sur sa production, même la plus symptomatiquement dense, une action de l’Air, aérienne et légère, où l’humour semble se tapir sous le constat du poids du monde et de son inaltérabilité du fait de la période historique.

les soleils noirs de la mélancolie Les soleils noirs de la mélancolie sont ils des anti-soleils dont l’éclat.

DENIS FELIX, ESSENTIA L’INTUITION EN VERVE. DENIS FELIX, ESSENTIA A LA GALERIE FREDERIC GOT.   Denis Felix expose.

Pentti Sammallahti deux expositions parisiennes. Sous le commissariat de Michaël Houlette, avec la collaboration de la galerie Camera.

Le souffle du labyrinthe, Christine Delory-Momberger. Que voyons nous vraiment de nos présences ailées et du temps qui.

VINCENT GOURIOU, INSTANTS D’ABANDON. Vincent Gourou, sur les cimaises de la galerie David GUIRAUD, du 4 Mai au.

Willy Ronis par Willy Ronis à Ménilmontant. Willy Ronis par Willy Ronis, jusqu’à fin septembre au Pavillon Carré.