SIAMO AGATA
Aujourd’hui, Agata est un emblème de résistances et de libérations face à tous les pouvoirs oppressifs, à toutes les mentalités coupantes actuelles. Sa « figure » se trouve donc citée par nombre d’artistes siciliens, italiens, qui en « connaissent » et qui en livrent ici , dans les travaux présentés, la charge symbolique, contribuant à en faire revivre la « divine » présence et à en donner une lecture très personnelle, dans des productions sensibles et autonomes.
TANIA DE MONTAIGNE, NOIRE.
Le spectacle vivant, conçu ici en réalité augmentée dans un mix entre projection de films, sons, réalité augmentée grâce aux casques que l’on porte et aux projections holographiques qui en émanent, est une expérience à vivre, sans réserve.
OLIVIER BRUNET: FAIRE RÊVER LE BÉTON.
S’appuyant sur une construction de ses plans, de ses photographies, une façon de mettre en scène le réel, de découper ce qui doit nécessairement être présent à l’image, d’isoler les détails, de mettre en scène grâce à sa fluidité, tout un espace représentatif, voire métonymique, afin de servir sa commande et d’affirmer son propre travail d’architecture du Regard, Olivier Brunet met en scène, quasi intuitivement son sujet, afin de faire « rêver » le béton, d’accomplir l’espace, de faire communier et l’histoire du bâtiment dans ses palimpsestes et son historicité (les étapes de la construction) et de proposer, au final, une création visuelle libre, légère, authentique, accomplie.
STÉPHANE MAHÉ, MOOD.
Le photographe, s’immerge dans cette nuit crépusculaire, à la pénombre complice. Il a à cœur de poursuivre cette quête de l’ombre, sacrificielle, de retrouver ce silence nuptial, d’entrer au cœur de cette nuit qui précède la nuit ( qui en serait une émanation théâtrale, romanesque) afin de regarder en lui même, de garder à nouveau les secrets qui ne manquent pas d’affleurer et de produire nombre de scènes dont l’inquiétante étrangeté est une marque de son temps intérieur et de sa photographie, très picturale, dans une sorte de connivence lynchéenne.
SYLVIA GOUBERN, MAISONS TÉMOINS.
Sylvia Goubern; C’est là que l’artiste peut rêver, enfermant ces souvenirs, dans une poétique de l’imagination matérielle propre à fidéliser en elle même, les images actives des lieux qui transcendent la maison pour en faire des objets poétiques, glissant vers la main depuis l’œil, dans une complicité de sens et d’histoire. Ces 13 petites maisons complices affirment déjà leur dimension lilliputienne, imaginaire anglais swiftien, propre à fidéliser en soi, l’enfant, pour qui le monde alentour, dans ses jouets, s’affirme comme une quête d’indépendance, d’autonomie et de puissance, de transformation, d’actes créatifs.
FRAGMENTATIONS et MÉTA-IMAGES.
TIME OUT : FRAGMENTATIONS et MÉTA-IMAGES. La finalité a été de faire jouer et de mettre en scène ce regard dont la rupture de la continuité est une marque de ce temps.
FRAGMENTATION RETOURS.
A la question anthropologique, que verait un néandertalien s’il pouvait se trouver aujourd’hui dans une rue de New York? j’aimerais croire, à y pouvoir répondre, tout sauf ce que nous voyons…de cette réalité et de ses semblants.
EYES WIDE OPEN
Une vision critique s’empare du statut de l’image fixe, dans un débordement de la représentation unitaire, unifiée, images lisses, pour mettre en scène un regard agi par les ruptures du réel, à travers sa discontinuité, ce qui me semble toujours plus actuel et plus juste, du point de vue d’une démarche cherchant une forme de modernité.
HERVÉ MELON, ILLUSTRATEUR.
Ouvrier du paradis, le dessinateur Hervé Melon, est reparti sur les sentiers de la création en livrant quelques dessins issus de sa plume au trait fin, pour croquer, comme il se doit, en giboyeur (néologisme) et en Robinson, certains bâtiments, places et lieux les plus emblématiques d’un Dijon ayant fait le voyage des tropiques, revenu au XVIIIème siècle.
SAINT VINCENT 2023
Il ne fallait pas déprimer ces 40 000 âmes, dit-on, qui s’étaient rendues, sur ce temps du week-end, en pélerinage, en procession sonore, en dévotions multiples, s’accordant parfaitement au breuvage qui coulait en or dans les verres puis en rose, enfin en rouge…
THIBAULT LÉVÊQUE
L’exposition des photographie de Thibault Lévêque et des poèmes d’Eva Bottega, donne à voir et à écouter le déploiement des corps dans l’espace, la présence de flammes où poudroient ces lumières appelées mots, photos, en leurs décors (dé-corps), lieux mobiles et immobiles dans une topographie du sensible par le voyage américain qui appartient autant au voyage intérieur qu’à la plume qui en établit les correspondances, à travers une photographie, elle aussi, nue, sans artifice, presque fraiche, bientôt brûlante.
DEMORIANE ou La Splendeur inavouée du Chant.
DEMORIANE ou La Splendeur inavouée du Chant. » On s’assit autour d’elle, et aussitôt, d’une voix fraîche.
Articles parus en ligne.
Articles parus dans la presse quotidienne en ligne fait état de mes interventions du côté de l’écriture critique.
Articles parus retrace une expérience critique intéressante…Suite à mes études de lettres et de sémiologie à Paris VIII (Préparation d’un Doctorat), photographe d’art, professionnel de l’image, passionné par l’écriture, je contribue régulièrement à l’Autre Quotidien, très largement et pendant ces dernières années à 9 lives magazine, par mes articles critiques autour de la photographie, concernant expositions, monographies, festivals, livres, dont cette page, articles parus en ligne, est un témoignage.
Au fil des jours, sur les chemins de la sensibilité, aux croisements des rencontres, ces articles sont issus des occasions de prendre la parole, d’écrire sur ce que dépose l’actualité dans son journal et ce qui fait sens fugitivement dans l’intention de voir, d’entendre, de suivre toute une actualité où se croisent expositions, photographes de renom, festivals prestigieux, éditions de qualité; tout ce que sont les éléments de sens qui se dégagent de toute « bonne » photographie, dans ce qu’elle s’adresse aux sens et à ces plans supérieurs qui organisent d’insolites et fructueux partages, passages secrets autour de ces photographies parues, existantes, pour faire mondes et sensibilités.
L’ écriture développe ces inspirations pour revenir vers leurs auteurs dans un questionnement qui leur est propre et qui éclaire ce que l’image peut cacher au delà des semblances et des ressentis. Une approche plus fondamentale permet de mettre en relation les « raisons » profondes, au sens philosophique de ce qui anime en profondeur, de l’autre côté du miroir, les dialogues intimes qui affleurent en raison de ces images et qui de-viennent à ce moment de leur découverte des éléments d’une intimité psychologique et de ses relations au monde, au temps, comme si la, le photographe avait pris soin de re-plier le temps dans une sorte d’adresse et de continuité dialoguée avec cette part profonde du Moi, faisant état objectivement, à travers une série d’images de ses rapports intimes avec elle même, au creux de l’action, entre le Soi et le Monde, cherchant à atteindre ce qui fait dialogue, ce qui émeut, anime tous les champs constitutifs de cette alliage corps, âme, esprit, et du travail si spécifique de chacun(e), établissant les éléments perspectifs de son identité comme de ses questions…La photographie, dans son écriture, est-elle toujours ce mystère du sens et de l’identité qui affleure et qui fait photographie?
Le marcheur avance ainsi moins seul. Ses rencontres sont des bonheurs croisés où l’écriture s’accorde au temps de ces lectures proposées et provoque LE SENS.
Articles parus dans la presse quotidienne en ligne et sur ce site, s’est organisé autour d’une question centrale qu’est-ce qui fait photographie chez tel photographe, de quelles expériences son travail est-il issu, que porte son regard et que développe t-il?
Contributeur à 9 LIVES MAGAZINE, L’AUTRE QUOTIDIEN, deux quotidiens de la presse en ligne.
https://www.lautrequotidien.fr/ https://www.9lives-magazine.com